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Peur Des Filles

Une caméra plonge depuis l’espace aux côtés d’une soucoupe volante dans une maison américaine des années 60 où une sanglante femme extra-terrestre semblant sortie de Mars Attack transforme les hommes terriens en buffet !


Le dernier clip de l’Impératrice réalisé par Aube Perrie et produit par Left productions sur le titre “Peur des filles” accompagne la sortie de “Tako Tsubo”, leur nouvel album. Si vous êtes en quête de petits meurtre appétissants, plongez dans un décor de villa de Palm Spring de 300m2 construit à Bry-Sur-Marne et dessiné par Louise Mekylla Bachir, co-directrice artistique et chef décoratrice.

« Afraid of girls », c’est une sorte de mini Plan 9 qui, comme son nom l’indique, s’amuse de la peur des filles. Ici, les extra-terrestres, ce sont elles. Par pure misandrie, elles débarquent sur une planète fabuleuse où leur espèce n’existe pas. De fait, les terriens hommes sont terrifiés. A raison puisqu’à peine arrivées, les filles les massacrent jusqu’au dernier. Cannibales, elles les mangent mais pas seulement: elles les réaniment sous une forme zombie bien plus servile !” nous raconte Aube Perrie.

Tourné en pellicule 16mm, sous l'œil du chef opérateur César Decharme, le clip nous invite dans un univers à la Ed Wood. Au menu du clip, l’équipe de truqueurs et maquilleurs menée par Mickael Arasco nous offre des litres de faux sang, de faux moignons, une salade de doigts coupés et des hommes sans têtes… Les corps zombifiés téléguidés dansent sur les pas imaginés par Carine Charaire, chorégraphe de I could Never Be a Dancer.

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[English version]

A camera dives from space alongside a flying saucer into an American house from the 60's where a bloody alien woman who looks like she came out of Mars Attack turns the men of the earth into a buffet!

The latest clip of the Empress directed by Aube Perrie and produced by Left productions on the track "Fear of the girls" accompanies the release of "Tako Tsubo", their new album. If you're looking for a little appetizing murder, dive into a 300m2 Palm Spring villa set built in Bry-Sur-Marne and designed by Louise Mekylla Bachir, co-artistic director and chief decorator." Afraid of girls" is a kind of mini Plan 9 that, as its name suggests, pokes fun at the fear of girls. Here, the aliens are them. By pure misandry, they land on a fabulous planet where their species does not exist. In fact, the male earthlings are terrified. And rightly so, because as soon as they arrive, the girls slaughter them to the last man. Cannibals, they eat them but not only: they reanimate them in a much more servile zombie form", says Aube Perrie.

Shot in 16mm film, under the eye of cinematographer César Decharme, the clip invites us into an Ed Wood-like universe. On the menu of the clip, the team of fitters and make-up artists led by Mickael Arasco offers us liters of fake blood, fake stumps, a salad of cut fingers and headless men... The remote-controlled zombified bodies dance on the steps imagined by Carine Charaire, choreographer of I could Never Be a Dancer.

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A huge thanks to our amazing team that made this all possible

Written and directed by: @aube_perrie
Director of Photography: @cesardecharme
Production Company: @leftproductions
Producer : @almmarita
Line Producer: @albert.sans.maniere
Production Assistant: @haicylia

L'Impératrice
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Ne me suis pas

Elle n’a que 17 ans et c’est déjà son 3ème album ! La jeune chanteuse LOU sort un single qu’elle a elle-même écrit et composé : « Ne me suis pas ».

Signée chez Muzeek One, Lou et son label ont confié pour la cinquième fois, les rennes du clip à Left. Pour ce nouveau partenariat, Left a fait appel au réalisateur Théo Sauvage accompagné du chef opérateur Alfred Thirolle.

La productrice du clip explique ce choix: “Nous avons suivi Lou depuis ses tout débuts, alors pour épouser la volonté du label de marquer une évolution et une maturité dans la vie et la musique de Lou, j’ai eu envie de faire appel à l’un de nos nouveaux réalisateurs. J’ai pensé à Théo pour son œil nouveau et son énergie débordante qui font du film un clip frais, dynamique et qui donne la pêche ! »

Left a fait appel au comédien Thomas Derlot pour jouer en duo avec Lou une histoire d’amour où l’on se cherche, on s’aime, on se boude et on se retrouve pour s’aimer de plus belle.

« Inspiré par l’intensité des refrains, j’ai décidé de lier cette dynamique à un road-trip à 2, à mi-chemin entre l’amour et l’amitié. Premièrement, ce concept permet de mettre en image plusieurs émotions telles que la joie, l’exaltation, mais aussi la désillusion et l’animosité, puis la réconciliation. Deuxièmement, cela correspondait au changement d’image qui s’opère autour de la carrière de Lou. Moins enfant, plus mature. J’avais cette volonté d’emmener le spectateur en voyage, de l’immerger dans une aventure où l’insouciance triomphe. Explique Théo Sauvage. Un road movie, qui nous entraîne dans les magnifiques paysages de Marseille. Au volant d’une somptueuse décapotable, les comédiens filent au travers de champs verdoyants et une mer bleue magnifique. Théo nous explique le choix du décor : « Les grandes routes et les plages Camarguaises, les côtes rocheuses des Calanques de Marseille symbolisent l’évasion. Les prises de vues en drone impliquaient d’avoir de grands décors majestueux, d’autant plus que nous avions des scènes de voiture,avec cette magnifique Golf 1 de 1982,qui méritait d’être mise en valeur dans la nature. »

Left a appuyé la volonté du réalisateur de mélanger des images numériques à des images Super 8 en faisant appel à Silverway pour le développement des images.

Théo en parle : « J’ai fait ce choix de prendre ma Super 8 pour vivre l’expérience des 2 protagonistes, embarquer avec eux. De plus, sur un projet TF1, diffusé en télé, ce n’est pas commun. Je pouvais dégainer quand je voulais, même pendant les prises, ce qui nous a aussi aidé au montage, pour mixer les styles d’images et permettre des transitions rapides entre les scènes. »

LOU
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